Repérage
La Verrue de Cornavin

La Verrue de Cornavin

1954
Photo Rey
Claude-André Fradel

Madame Rey, la photographe de Cornavin fait de la résistance. Cela donne même lieu à un sketch dans la Revue du Casino-Théâtre "Quelles visions!" en 1954.

Dédicace de Mme Rey au dos de la photographie:

Claude-André Fradel
La Verrue de Cornavin, Verso de la carte
La Verrue de Cornavin, Verso de la carte

Et dans la presse, sur la scène du Casino par Freddy Bertrand:

Claude-André Fradel
La Verrue de Cornavin,  photo presse
La Verrue de Cornavin,  photo presse

Voir aussi : notrehistoire.ch/entries/Ovo8v...

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  • Albin Salamin

    Dans le journal de Genève du 23 décembre 1953, on apprend que Mme Ida Rey a refusé la dernière offre formulée par l'administration des S. I. Cornavin, soit une indemnité de 50 000 frs, avec mise à disposition d'une arcade et d'un appartement à des conditions tout à fait acceptables. Mais si Mme Ida Rey n'accepte pas ce compromis, l’État de Genève pourrait recourir à l'expropriation. Cependant en mars 1954, les choses semblent s'arranger entre la propriétaire de l'îlot de la rue Cornavin, Mme Rey, tant de la part de la Société Immobilière que la ville de Genève. Mais l'immeuble n°5 qui abrite l'arcade et l'appartement de Mme Ida Rey (photographe) doit être démoli rapidement pour des raisons de sécurité et de salubrité, surtout après un feu de cheminée dans l'appartement de Mme Rey le 16 février 1955. Ce sera le cas en printemps 1955, après la réinstallation de Mme Rey à la rue Rousseau. Sources: les Archives du Temps