Engollon, le temple et ses fresques_628
Engollon, le temple et ses fresques_628
Une après-midi du mois de juin à Engollon, contrejour sur la fontaine et le temple.
Dans le village, une autre fontaine sert maintenant de plate-bande pour les fleurs.
Le Temple d'Engollon, un chef-d'oeuvre du patrimoine neuchâtelois et suisse
<a href=""></a>Voici l' église St-Pierre d' Engollon , située avec son petit village au centre du Val-de-Ruz (canton de Neuchâtel). Le premier sanctuaire d'Engollon est mentionné en 1228 . Mais des fouilles très récentes ont permis de mettre en évidence les traces des fondations d'un édifice antérieur, datant du Haut Moyen Âge. Le choeur actuel, revêtu de peintures murales lesquelles justifient le classement de cet édifice comme monument historique par la Confédération , datent du 13ème siècle ou du début du 14ème siècle.
Des travaux transformèrent ce temple au 15ème siècle, au 17ème siècle, au début du 19ème siècle. Une restauration eut lieu (architecte François Wavre ) entre 1923 et 24 . Cette restauration permit de mettre en évidence les peintures murales du 14ème siècle dans la chapelle Nord de l'édifice. Cette chapelle est un joyau architectural médiéval, l'un des plus beaux du canton de Neuchâtel, et rare au niveau national. Les peinture murales sortent d'une restauration récente (2005-2006): elles représentent des épisodes de la vie du Christ et la voûte offre une superbe représentation du Christ en Majesté entouré des symboles des évangélistes.
Texte extrait du site orgues-et-vitraux.ch
Ci dessous, quatre vues du tetramorphe, c'est à dire les évangélistes et leurs symboles :
Matthieu, l'Homme (à gauche). Il semble qu'on dise couramment par erreur "l'Ange" . Il s'agit d'un homme :
Ci-dessous, Jean, l'aigle :
Puis Marc, le lion qui crie dans le désert :
Et enfin, Luc, le taureau :
J'ai pris les photos du tetramorphe en juin 2014.
Expo sur les photos de classe
Au Musée de Carouge se tient actuellement une exposition sur la photo de classe. Nous sommes allés à la rencontre de Benoît Boretti, directeur du Musée de Carouge et de Marie-Françoise Guillermin, éminente contributrice de la plateforme, dont les souvenirs sont maintenant visibles au musée.