Le philosophe
Le philosophe
Dédicace :
« A l’ensemble de ma famille pour le bonheur qu’elle m’a apporté, en particulier à Christine sans qui toutes ces agitations n’auraient pas été possible.»
Dans cette capsule vidéo
Dans cette capsule vidéo, Jean-Claude Pont s'exprime sur ce qui fait la valeur d'un homme : essentiellement l'empathie, l'importance apportée aux autres.
Qui est Jean-Claude Pont ?
Mathématicien, historien, philosophe, organisateur d'événements internationaux... : on ne compte plus les casquettes qui ont coiffé sa tête. Titulaire d'un doctorat en mathématiques (EPFZ), mais aussi guide de haute montagne, Jean-Claude Pont (*1941) a eu la géniale idée de créer la Course Sierre-Zinal, la "Course des Cinq 4000". Il l’a organisée durant 41 ans et courue 42 fois.
Avec son ami Georges Meynet, astrophysicien, il a créé et animé des activités astronomiques à Saint-Luc (Chemin des Planètes, Observatoire François Xavier-Bagnoud, activités qui attirent chaque année des milliers de personnes sur les hauteurs anniviardes.
Il a enseigné une bonne quarantaine d’années : du collège des Creusets, il est passé à l'université de Genève où il a inauguré la chaire « Histoire et Philosophie des Sciences », qu’il a occupée durant une vingtaine d'années. Il aime à dire : « Je suis de 41, j’ai enseigné durant 41 ans, j’ai dirigé Sierre-Zinal 41 fois, j’ai quitté la direction de Sierre-Zinal en 2014, mon cosmos coaché par les chiffres. »
Une citation
«Plus on sait de choses, plus on mesure l'étendue de son ignorance. »
Musique
La musique de cette vidéo est de Thierry Epiney que je remercie. [voir]
Voir aussi
Autre adresse
Si cette vidéo s'interrompt avant la fin, vous pouvez la lire ici.
Plan fixe
Pour visionner le plan fixe, cliquez sur ce lien.
Galeries:
Nos vies : un siècle d’histoire des Suisses par leurs images
... et encore la bienveillance. Superbe témoignage !
Les propos de Jean-Claude Pont pénétrés d'humanisme et de philanthropie me paraissent en écho avec les mots de Ramuz à la fin du "Village dans la montagne". Parlant du regard à porter sur les humains, Ramuz écrit :"... (il faut) voir surtout en eux par où ils sont tous frères, ayant tous les mêmes douleurs, les mêmes joies, les mêmes peines et une même façon d'aimer."