Fleurier
Fleurier
Une balade à l’aube du 20ème siècle à Fleurier en photographies et cartes anciennes
Musique : Jeux interdits guitare Manitas de Plata
Fleurier ancienne commune neuchâteloise du district du Val-de-Travers, ayant fusionné en 2009 avec Les Bayards, Boveresse, Buttes, Couvet, Môtiers (NE), Noiraigue, Saint-Sulpice (NE) et Travers pour former la commune de Val-de-Travers.
Fleurier est construit à la confluence de trois rivières : l’Areuse, le Buttes et le Fleurier
Le village de Fleurier était jusqu'au milieu du 17ème siècle, un village essentiellement agricole. Le territoire restreint de la commune, associé à une mauvaise qualité des terrains, marécages, ne favorisaient pas le développement de l'agriculture. Très tôt les Fleurisans et Fleurisanes ont cherché à gagner leur vie dans d'autres domaines. C’est pour cela qu’une bonne partie de la population produisait des toiles de chanvre et de lin, peintes ou imprimées, à savoir les indiennes. Avec le 19ème siècle, commence pour la commune une période nouvelle due au développement de l'industrie, plus particulièrement l'industrie horlogère.
Le Chapeau de Napoléon
En 1894, la Société du musée de Fleurier établit un sentier sur le versant oriental de ce belvédère naturel, et qu'un dynamique hôtelier de la place, Joseph Kaufmann, y construisit un chalet-restaurant. Un nom, oublié aujourd'hui, lui fut donné par analogie avec un réputé site touristique de la Suisse centrale : Le Righi
Aujourd’hui Fleurier est également traversée par la Route de l’Absinthe
"Dis voir", l'appli
Les Romands batoillent, mais de Sierre à Saignelégier leur accent varie. Le chercheur Mathieu Avanzi lance une application mobile pour étudier la diversité du parler romand. Le projet « Dis voir » invite les utilisateurs à enregistrer leur voix sur leur smartphone, à deviner des mots typiquement romands, et à tester leurs connaissances des accents régionaux.