Au lavoir d'en bas.
Au lavoir d'en bas.
Je n'aurais pas aimé longtemps le travail des lavandières, surtout dans le froid de l'hiver ou quand elles devaient remonter le raidillon avec le petit char plein de linge mouillé. Mais j'aurais bien aimé écouter les rires et les palabres. On devait en ressortir en pleine gaité. Les aigreurs de la vie devaient prendre une autre dimension.
Une autre photo au même endroit. Au même moment ?
Qui est la personne bien visible en deuxième position ?
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14 janvier 2022
Domaine public
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Nos vies : un siècle d’histoire des Suisses par leurs images
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Cher monsieur Serge Croy, si justement elle est très réussie, comme vous le dite si bien, c'est un témoin important et j'apprécie la façon dont le photographe observait cette scène et nous la transmet avec beaucoup de douceur...
Je parlais d'un point de vue photographique. J'ai dû déjà la travailler pour rendre le contraste moins dur et augmenter la netteté. A part ça, elle me touche bien sûr. Serge
oui, j'avais bien compris votre façon de voir...cela n'empêche celle du preneur d'image, celle à la base celle du photographe... et vous l'aviez très bien ressenti. Renata