Epalinges paroisse protestante
Epalinges paroisse protestante
Mariage de Françoise et Yves Martin notre neveu.
Voir aussi: http://www.notrehistoire.ch/group/monuments-religieux/photo/49348/
"Histoire de l'église des Croisettes
Avec la maison de commune, l'église des Croisettes constitue le bâtiment emblématique d'Epalinges.
Campée sur une colline, entourée de verdure, l'église est caractérisée par son ample toit bernois et par son aspect villageois.
Au Moyen Âge, Epalinges dépendait du Chapitre de la cathédrale de Lausanne, mais elle ne disposait pas d'un lieu de culte. Il a fallu attendre la Réforme et des décennies de sollicitations pour que le souverain bernois et la ville de Lausanne décident la construction d'une chapelle en faveur des habitants d'Epalinges et des Râpes (Vers-chez-les-Blanc, Chalet-à-Gobet et Montblesson), jusqu'alors délaissés sur le plan spirituel. Les travaux ont duré deux ans et l'inauguration s'est déroulée le 13 novembre 1662.
Une importante restauration est intervenue entre 1913 et 1915. Comme Epalinges n'a pas été en mesure de participer au financement de sa construction, le bâtiment appartient à la commune de Lausanne. Il incombe en revanche à Epalinges et Lausanne d'assurer l'entretien à frais égaux.
A la veille de l'urbanisation d'Epalinges, les deux communes ont uni leurs efforts pour préserver le site de l'église et son remarquable point de vue. En 1954 et 1956, plus de 18'000 m2 de terrain ont été achetés à des tiers avec l'aide financière de l'Etat et frappés simultanément d'une servitude de non-bâtir.
Dans leur politique d'urbanisme subséquente, les autorités palinzardes ont considéré ce secteur, qui comprend également le cimetière et la clinique Sylvana, comme une zone consacrée à la vie spirituelle et au repos, à proximité du centre politique et commercial de la Croix-Blanche."
Texte tiré de: http://www.epalinges.ch/administration-communale/cultes/eglise-des-croisettes
"Dis voir", l'appli
Les Romands batoillent, mais de Sierre à Saignelégier leur accent varie. Le chercheur Mathieu Avanzi lance une application mobile pour étudier la diversité du parler romand. Le projet « Dis voir » invite les utilisateurs à enregistrer leur voix sur leur smartphone, à deviner des mots typiquement romands, et à tester leurs connaissances des accents régionaux.