Vidéo surveillance policière
Vidéo surveillance policière
Graffiti à la peinture noire (Pas de caméras, pas de policiers), dans le tunnel de passage entre Cornavin et la rue des Gares, référence à l'installation de vingt-neuf caméras de surveillance dans le quartier des Pâquis.
C'est le conseiller d'Etat Pierre Maudet, chargé du département de la sécurité et de l'économie, qui a engagé cette politique de vidéo surveillance, pour une période test de deux ans au terme de laquelle un bilan sera établi par Francisco Klauser, professeur à l'Institut de géographie à l'Université de Neuchâtel.
La mise en place de ces caméras s'accompagne de la création, au nouvel hôtel de police de la Gravière, d'une salle de visionnement en direct, par une équipe de huit policiers, travaillant vingt heures sur vingt-quatre.
Le coût de cette opération est de 1,1 million pour l'installation et de 1 million par an pour son fonctionnement.
Ci-dessous, le plan de l'implantation des cameras dans le périmètre des Pâquis, selon la Tribune de Genève.
Galeries:

Quand les Romands font leur histoire...
Difficile d'aller se promener dans le quartier...
... oui c'est vrai et même un peu difficile de rendre visite à un pauvre bienheureux qui n'a pu et ou voulu se payer mieux