Hier, a été enseveli, à Ayer, M. Benoit Theytaz, guide, décédé au bel âge de 83 ans. Après l'Office des morts, M. le Rd curé Roch, chanta la messe des défunts et donna l'absoute devant une assistance particulièrement nombreuse, parmi laquelle, en dehors des personnalités locales et régionales entourant M. le président Epiney, nous avons reconnu le cap. Monachon et quelques soldats du cours alpin d'hiver de la Br. mont. 10. M. Theytaz était un homme fort connu et estimé dans le Val d'Anniviers. Guide de sa profession, il était très apprécié du tous les alpinistes qui recouraient volontiers à son expérience pour entreprendre, par exemple l'escalade du Zinal-Rothorn. Son amour pour la montagne était tel, qu'âgé de 70 ans et plus, il s'en allait encore souvent faire l'ascension de la Pointe de Zinal. A sa famille, spécialement à son fils André, skieur et guide réputé, nous présentons nos sincères condoléances, Nouvelliste, février 1957.
Trop beau ;-) !
Pas le temps d'arrêter de tricoter.... Magnifique ........merci.
Voir également: http://www.notrehistoire.ch/group/ayer-hier-et-aujourdhui/photo/46228/
Benoît Theytaz, Guide.
Hier, a été enseveli, à Ayer, M. Benoit Theytaz, guide, décédé au bel âge de 83 ans. Après l'Office des morts, M. le Rd curé Roch, chanta la messe des défunts et donna l'absoute devant une assistance particulièrement nombreuse, parmi laquelle, en dehors des personnalités locales et régionales entourant M. le président Epiney, nous avons reconnu le cap. Monachon et quelques soldats du cours alpin d'hiver de la Br. mont. 10. M. Theytaz était un homme fort connu et estimé dans le Val d'Anniviers. Guide de sa profession, il était très apprécié du tous les alpinistes qui recouraient volontiers à son expérience pour entreprendre, par exemple l'escalade du Zinal-Rothorn. Son amour pour la montagne était tel, qu'âgé de 70 ans et plus, il s'en allait encore souvent faire l'ascension de la Pointe de Zinal. A sa famille, spécialement à son fils André, skieur et guide réputé, nous présentons nos sincères condoléances, Nouvelliste, février 1957.