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Phare au port de La Tour-de-Peilz
Phare au port de La Tour-de-Peilz
22 phares tournant de couleur orange alertent tout autour du Léman par leurs lumières orange et par la fréquence par minute du phare de l'imminence d'un fort coup de vent ou d'une tempête.
L'avis de prudence "fort vent" est à 40 clignotement par minute pour signaler des coups de vent brusques dépassant 25 noeuds (40 à 50 km/h) dans les deux heures à venir
L'avis de tempête est de 90 clignotement minutes pour signaler l'arrivée d'une tempête ou d'un orage violent avec coups de vent dépassant 25 noeuds (40 à 50 km/h) dans une région spécifiée dans l'heure qui vient.
Autrefois (avant la révision de l'ordonnance sur la navigation intérieure, ONI de 2014 ?), la fréquence de signalisation était de 45 - 60 et 90 (si je me souviens bien)
https://notrehistoire.ch/entries/gNBpNnQ5W2Z
27 avril 2025
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Sur la question des phares du Léman, celui des Pâquis à Genève possède une histoire singulière. Un petit livre de poche raconte cette épopée. Il a été écrit par un mmbre Eric Court Voici le lien vers la publication: georg.ch/phare-des-paquis
Bonjour Valérie, attention, ton lien ci-dessus vers notrehistoire.ch/@Phare, conduit vers une erreur 404
merci, c'est bien une erreur. J'ai supprimé
Il me semble que l’ancienne formule était 45-90; je ne me rappelle pas de 60. Pour la côte suisse, Cointrin met en fonction le dispositif, tout en prévenant les autorités françaises. L’aspect préventif n’est pas toujours bien compris; il y a eu des noyades, car les plaisanciers et des pêcheurs amateurs, ont sous-estimé l’ampleur du coup de tabac. A Evian notamment, où un coup de Bornand a poussé des embarcations au large, qui ont ensuite chaviré. A 200 mètres au large d’Evian, vous ne voyez rien venir, le Bornand descend brutalement la pente, en appuyant sur la surface, il creuse des vagues très dures, auxquelles les petits bateaux ne peuvent résister. Un dimanche en février 1991 sur le VILLE de GENÈVE, j’aidais le capitane à larguer les chaînes à l’arrière. Nous levons les yeux et voyons tourner le feu d’Ouchy à 90 tr/ mn; nous sentons déjà les airs, en voyant la barre à mi lac. Il me regarde en disant « On vient de faire la plus grosse de la journée. » Effectivement, partis pour Saint-Gingolph, nous n’avons pas dépassé Cully, où nous avons cassé quelques cordages. Face au Bornand, nous avons traversé sur Meillerie, en longeant la côte, nous sommes allés nous mettre à l’abri à Evian. Le VILLE de GENÈVE est lourd et solide, nous avons malgré cela été durement chahutés, avec près de 1000 CV à notre.disposition. A la CGN, la manœuvre de sécurité consiste à faire face au vent, à bonne distance de la côte quand c’est possible.