Chère Madame,

Excellente idée, je vous en remercie et vais chercher dans cette base de données.

Bien à vous

P.S.: J'ai aussi adressé cette question à Interroge de Genève, institutions.ville-geneve.ch/f...

Voici la réponse de ce service http://www.interroge.ch/ reçue le matin du 22 janvier 2022:

"[...] Nous vous remercions d'avoir fait appel au service Interroge, voici le résultat de nos recherches :

S’il n’était pas évident que la personne portraiturée sur cette photographie est bien André Pépin (notamment parce que c’est sa fille qui a transmis les portraits à la plateforme NotreHistoire.ch), nous aurions conclu que la signature n’est pas celle du photographe, mais de la personne représentée. Il n’est en effet par rare que les portraits soient utilisés comme support pour des autographes, comme par exemple Bernard Bouvier, photographié par Adolf Eckstein.

Bien que très peu lisible, il paraît évident que cette signature ne correspond à aucun nom de photographe connu à Genève entre 1950 et 1969, comme nous avons pu le constater en consultant l’Annuaire genevois durant ces années, tout comme la base de données Iconographie de la Bibliothèque de Genève ou encore la liste des photographes dont dispose le Centre d’iconographie (consultable sur rendez-vous).

Malgré une lettre initiale peu claire, le prénom semble bien être « John », tandis qu’un doute important demeure pour le nom de famille. Sa première lettre peut être un « A », un « O », un « Q », ou encore un « C » suivi d’un petit « l ». Les deux lettres de fin pourraient être « an ». Ces quelques éléments de lecture permettent d’exclure une correspondance avec les noms publiés dans l’Annuaire genevois.

Dans ce contexte, nous nous hasardons à émettre l’hypothèse qu’il pourrait s’agir de la signature d’un collaborateur d’un studio de photographie, par exemple le Studio Neri SA, rue du Mont-Blanc 8 à Genève, qui devient une société anonyme entre 1965 et 1966, à l’occasion probablement de la retraite de son fondateur Victor Neri. Un encart publicitaire paru dans l’Annuaire genevois de 1966 mentionne que l’une des spécialités de cet atelier est le « portrait d’art », terme qui pourrait très bien désigner le type de portrait dont il est question ici. [...]

Cette signature restera donc une petite énigme.