Lausanne - Vue générale

Lausanne - Vue générale

1 janvier 1917
Perrochet-Matile, Lausanne
Pierrette Frochaux-Chevrot

Carte postale issue d'un "Album-Souvenir" de 10 cartes postales photo-bromure, non daté. Probablement publié vers 1917-1920 par "Editions Art. Perrochet-Matile, Lausanne.

Maison fondée en 1906 à La Chaux-de-Fonds. En 1908, Perrochet s'associe à un cousin du nom de David. Les cartes se tirent alors à Paris. En 1915, les deux associés se séparent, David part à Paris et Perrochet s'installe à Lausanne. La même année, il s'associe avec Matile. A cause de la guerre, les tirages ne peuvent plus se faire à Paris et un atelier est créé à Lausanne en 1917. En 1929, la maison se transforme en Société anonyme.

Source: https://museris.lausanne.ch

Et pour en savoir plus : http://acm.epfl.ch/page-141065-fr.html

A remarquer le pont Bessière flambant neuf, qui a été inauguré le 24 septembre 1910.

Cette photographie a probablement été prise depuis la Barre ou du sentier des Colombes.

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  • Nicolas Ogay

    Regardez cette formidable photo de la vallée du Flon, du pont Bessières encore nouveau, avec les tanneries Mercier et leur cheminée, les immeubles qui mènent vers la rue du Pré et sa "faune" de gens, travailleurs pauvres, souvent immigrés Italiens, ses petits criminels et ses "travailleuses" maquées! Ma Grand-mère paternelle (Marguerite, alors encore Gindroz, née en 1903) était alors apprentie couturière et devais, précisément à cette époque, livrer les habits commandés par "ces dames". Elles avaient les "hommes" à l'œil pour qu'ils la laissent tranquille pendant ses livraisons!! J’aime beaucoup cette photo, merci de la partager avec nous !

  • Martine Desarzens

    Cher Nicolas, j'ai une pensée très affective pour votre grand-mère Marguerite ! Si vous cliquez sous le lien ci-dessous, vous pourrez lire un commentaire que j'ai écris sur les Mercier.... Voir aussi :http://www.notrehistoire.ch/photo/view/38894/

  • Nicolas Ogay

    Merci Chère Martine! Ma Grand-mère était une femme de caractère, très indépendante. Elle avait 10 ans de plus que mon grand-père, mais c'est elle qui est partie la deuxième! Pour la rue du Pré, elle m'a toujours dit que "ces dames" étaient toujours très gentilles pour elle et que, probablement grâce à elles, elle pouvait déambuler sans aucun problème dans ces rues étroites, souvent mal famées, de l'îlot du Pré et du Rôtillon! Je lui suis reconnaissant de m'avoir raconté tout ça! Merci pour votre lien, je vais aller le consulter tout soudain. J'aime beaucoup l'histoire de la famille Mercier!