«La Belle de Moudon» d'Arthur Honegger et René Morax - Arrivée de la diligence à Moudon
«La Belle de Moudon» d'Arthur Honegger et René Morax - Arrivée de la diligence à Moudon
«La Belle de Moudon» d'Arthur Honegger et René Morax - Sur la scène du Théâtre du Jorat à Mézières, l’arrivée de la diligence à Moudon (départ d'Isabelle). Au premier plan à droite: Isabelle Braillard (Lucy Berthrand) et son ami Albert Praroman (Jacques Servières) . (*)
Une photo d'Émile Gos, Lausanne, publiée dans L'Illustré du 4 juin 1931, No 23, page 768.
(*) Albert Praroman, le fils du notaire, aime Isabelle Braillard, la fille de l’aubergiste, le tenancier de La Fleur de Lys. Mais un café et une étude de notaire, ce n'est pas du même bord, comme le fait remarquer un personnage mi-philosophe, mi-braconnier, au demeurant le meilleur garçon du monde. De là va naître le conflit. La famille du jeune homme, pour couper court à cette idylle, décide d'envoyer son héritier à l’étranger. Quant à la belle Isabelle, elle sera emmenée à Paris par le chevalier Farinelli, de passage dans le café du père et séduit et charmé par la pureté de la voix de la jeune fille.
"Dis voir", l'appli
Les Romands batoillent, mais de Sierre à Saignelégier leur accent varie. Le chercheur Mathieu Avanzi lance une application mobile pour étudier la diversité du parler romand. Le projet « Dis voir » invite les utilisateurs à enregistrer leur voix sur leur smartphone, à deviner des mots typiquement romands, et à tester leurs connaissances des accents régionaux.