Ancienne Tuilerie, les différents propriétaires ...
1866, la tuilerie est vendu à M. Birbaum, H.P. Vonderweid, C. Emmanuel, A.H. Boccard, pour la somme de quarante mille francs. Les acquéreurs sont subrogés aux droit et obligations du bail du 24 décembre 1866, passé avec J. Gasser, feu C. Gasser, pour la tuilerie proprement dite du Mouret.
1868, nouvelle vente à J. Duriaux, J. Horner, L. Dutoit, pour quarante trois mille trois cent cinquante francs.
1874, nouvelle revente à J. Duriaux.
1879, les immeubles comprenand la Tuilerie et ses dépendances sont devenus la propriété des héritiers de feu J. Chassot. Le 25 sept
1898, l'édifice est agrandi pour abriter une machine pour la fabrication des drains, briques et tuiles.
1898, le 25 septembre, nouvel acte: J. Equey a vendu à Ferdinand Gasser, tuilier au Mouret, les immeubles comprenand la Tuilerie du Mouret et ses dépendances.
1927, F. Gasser décède. La tuilerie passe en mains d'Albert Gasser, son fils, et Lina Staudenmann-Gasser, sa soeur. Celle-ci meurt en 1932.
1933, J. Staudnmann et les héritiers alliés Gasser deviennent propriétaires de la Tuilerie du Mouret et le restent jusqu'en 1946.
1946, les héritiers de la famille Staudenmann, Glauser et Paul Gasser deviennent propriétaires de la tuilerie et le restent jusqu'en 1956. La tuilerie est alors agrandie dans son aspect actuel.
1957, après le décès d'Albert Gasser, les héritiers fondent la Tuilerie le Mouret SA.
1963, La tuilerie cesse son activité. Elle est achetée par les ameublements Sottaz SA.
1990, le bâtiment passe en main de Léon Bourguet.
1994, le tuilerie est la propriété de la Banque de l'Etat de Fribourg.
1999, depuis cette date, la Tuilerie du Mouret appartient à un privé.
Note: Pour la petite histoire, le bâtiment se trouve en fait sur le territoir de la commune de Ferpicloz.
.
Images modifiées ou générées par l'IA
Depuis peu, l’intelligence artificielle arrive dans nos vies, pour le meilleur comme pour le pire. Elle permet de déflouter, coloriser et optimiser les témoignages historiques parfois de manière bluffante. Dans ce contexte, notreHistoire.ch et sa webédition a pris position pour défendre l'authenticité et la sincérité des documents publiés sur la plateforme.