En direct avec... Georges-André Chevallaz (1/2)
En direct avec... Georges-André Chevallaz (1/2)
Première partie. Le 2 novembre 1976, le conseiller fédéral Georges-André Chevallaz est l'invité de l'émission « En direct avec… ». Aux ateliers mécaniques des Charmilles, à Genève, il répond aux questions des employés. La fiscalité, la sécurité sociale, l'âge de la retraite, le droit de vote des étrangers et l'augmentation du coût de la vie sont au centre des préoccupations.
Georges-André Chevallaz (1915-2002). Après des études de lettres et un début de carrière dans l'enseignement, il dirige la Bibliothèque cantonale, à Lausanne, puis il enseigne à l'Université de Lausanne.
En 1945, Georges-André Chevallaz entre au Parti radical et siège au Conseil communal de Lausanne, de 1949 à 1957. Syndic de 1957 à 1973, il est également vice-président de l'Exposition nationale en 1964. A Berne, il siège au Conseil national (1958-1973) où il préside, durant trois ans, le groupe radical avant d'être élu, en 1973, au Conseil fédéral.
Pendant six ans il dirige le Département des finances, où il réussit à imposer des mesures d'assainissement des finances fédérales. Mais il échoue dans son grand projet de réforme fiscale: l'introduction d'une TVA, rejetée par le peuple en 1977 et en 1979.
En 1980, l'année même où il assume la charge de président de la Confédération, Georges-André Chevallaz reprend le Département militaire jusqu'à sa démission, en 1983. En 1992, il s'engage contre l'adhésion de la Suisse à l'EEE. (Source: dictionnaire historique de la Suisse)
Voir la deuxième partie de l'émission.
Voir des photograhies prises par un participant, Robert Collet, lors du tournage de cette émission: image 1 / image 2 / image 3 / image 4.
(D'autres documents sur le site des archives de la RTS)
"Dis voir", l'appli
Les Romands batoillent, mais de Sierre à Saignelégier leur accent varie. Le chercheur Mathieu Avanzi lance une application mobile pour étudier la diversité du parler romand. Le projet « Dis voir » invite les utilisateurs à enregistrer leur voix sur leur smartphone, à deviner des mots typiquement romands, et à tester leurs connaissances des accents régionaux.