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Fabrice Brandli
Historien, maître-assistant à l'Université de Genève (projet Sinergia/Fabrique des savoirs, équipe Damoclès)unige.academia.edu/FabriceBran...
Membre depuis 12 novembre 2009
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Jeannette Schneider-Rime avec sa fille, Ariane (ma mère), en 1950.
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En 1942, Jeannette Schneider-Rime (20 ans) et sa soeur, Sophie, avec en arrière-plan la to...
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Joseph Schneider avec dans ses bras sa fille, Ariane (ma mère), en 1950.
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Vue des tours jumelles depuis l'Empire State Buildling, en novembre 1976.
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Mes grands-parents maternels lors d'un voyage à New York, en novembre 1976, pour y visiter...
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Novembre 1976, mes grands-parents maternels et ma grand-tante américano-suisse dans les ru...
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Canonique, la vue aérienne ou presque sur Manhattan, probablement depuis l'Empire State Bu...
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Mon grand-oncle Alex, dont on voit l'ombre, prend en photo sa femme, Alodie, devant leur v...
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Alodie et Alex, ma grand-tante et mon grand-oncle, sur Daytona Beach en Floride. Alodie es...
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Début 1923, Jules et Marie Rime, avec les premiers de leurs onze enfants, dont ma grand-mè...

Quand les Romands font leur histoire...
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Jeûne genevois
Il remonterait au début du mois d'octobre 1567, à l'occasion d'une répression contre les protestants lyonnais. Dès 1640, le jeûne est perçu comme un acte moral et religieux et devient annuel à l'initiative des cantons réformés. Il s'agit d'un acte d'humilité et de solidarité envers les plus démuni.e.s. Le seul repas de la journée est une traditionnelle tarde aux pruneaux.