Cher Jean-Marc,
Je te remercie de la très très belle photo. Elle me touche profondément, en pensant à ton vécu bouleversant avec ton grand père. Toi, un petit garçon, noyé dans la tristesse au milieu de la fête, de joie, de rires, de vacarmes. C’est la plus belle photo de toi que j’ai jamais vue, sans vanité d’essayer de cacher les poches sous les yeux, sans ton grand sourire habituel : un vieux marin (pardon, ce mot « vieux »), navigateur de vie, d’un regard réflexif, d’une touche de tristesse, de amertume, de fatigue, tout de même pas de complète désespérance, qui émane de chaleur, de générosité, de tolérance, de lumière intérieure, de l’humanité. Ce qui contraste de façon si émouvante Julie, un bourgeon de vie.
Mieko de Vens
Cher Jean-Marc, Je te remercie de la très très belle photo. Elle me touche profondément, en pensant à ton vécu bouleversant avec ton grand père. Toi, un petit garçon, noyé dans la tristesse au milieu de la fête, de joie, de rires, de vacarmes. C’est la plus belle photo de toi que j’ai jamais vue, sans vanité d’essayer de cacher les poches sous les yeux, sans ton grand sourire habituel : un vieux marin (pardon, ce mot « vieux »), navigateur de vie, d’un regard réflexif, d’une touche de tristesse, de amertume, de fatigue, tout de même pas de complète désespérance, qui émane de chaleur, de générosité, de tolérance, de lumière intérieure, de l’humanité. Ce qui contraste de façon si émouvante Julie, un bourgeon de vie. Mieko de Vens