Cher monsieur Jean-Fred Friederich

Merci pour ce partage. Il me renvois tout droit en enfance dans les moments ou j'observais des exercices semblables, effectués sur le grand et vieux chalet dans lequel je vivais avec ma famille. Et je m'en souviens surtout qu'ils riaient beaucoup entre eux en faisant les guignols, menaçants l'un des leurs prit en otage sur le brancard, de lui couper ses jolis cheveux longues. Juste méchant... mais cela n'avait pas abouti et il restaient que les rires au bout

Amicalement Renata