On dirait le joli petit bâtiment existant encore à l'angle de la Rue de la Dranse. A ce qu'on m'a dit, au bout du chemin, c'était l'ancien pont de la Batiaz, qui aboutissait vers la chapelle. Ce qui me surpends dans les gravures de 1800 de martigny, c'est la représentation des femmes avec de larges chapeaux, alors que dans nos costumes folcloriques de la région, on réduit la coiffe a un espèce de bonnet.
On dirait le joli petit bâtiment existant encore à l'angle de la Rue de la Dranse. A ce qu'on m'a dit, au bout du chemin, c'était l'ancien pont de la Batiaz, qui aboutissait vers la chapelle. Ce qui me surpends dans les gravures de 1800 de martigny, c'est la représentation des femmes avec de larges chapeaux, alors que dans nos costumes folcloriques de la région, on réduit la coiffe a un espèce de bonnet.