Lors de festivités villageoises - ici une fête de tir - il n'était pas rare que l'on offre aux participants un souvenir sous forme de channe, d'assiette, de plat... en étain (coûteux) ou en faïence(plus abordable). Le décor était peint à la main. En fin de carrière, Paul Gerber utilisa des décalques adaptés à la cuisson. (Voir la channe commémorative de l'Abbaye de La Harpe à Rolle parmi les documents)