Juniors du HC Gottéron
Juniors du HC Gottéron
2ème depuis la droite au premier rang: René Fasel
Entrée au CIO 1995 Pays SUI (Suisse) Naissance 06 février 1950, Fribourg <a href=""></a>Études, Université de Fribourg; Université de Berne; diplôme de médecin-dentiste (1977); doctorat en médecine dentaire, université de Barcelone (2008)
Sports pratiqués; Hockey sur glace, football
Carrière sportive Joueur de hockey sur glace au HC Fribourg Gottéron (1960-1972)
Carrière sportive administrative Arbitre de hockey sur glace (licence internationale) (1972-1982); président de la commission des arbitres de la LSHG (Ligue Suisse de hockey sur glace) (1982-1985); président central de la LSHG (1985-1994); membre du conseil de la Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) (1986); président de l'IIHF (1994-); membre du CNO (1992); président de l'Association des fédérations internationales olympiques des sports d'hiver (AIOWF) (2002-)
Parcours au sein du CIO Elu en tant que président de Fédération Internationale; membre de la commission exécutive (2008-); président de la commission de coordination des XXIes Jeux Olympiques d'hiver à Vancouver en 2010 (2003-2010); membre en tant que représentant des FI des commissions suivantes: Mouvement olympique (1994-1999), coordination des XXes Jeux Olympiques d'hiver à Turin en 2006 (2000-2006); membre des commissions suivantes: marketing (1995-), coordination des XIXes Jeux Olympiques d'hiver à Salt Lake City en 2002 (1996-2002), «CIO 2000» (1999), médicale (2000-), Congrès 2009 (2006-2008), coordination des XXIIes Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi en 2014 (2007-), coordination des XXIIIes Jeux Olympiques d'hiver à Pyeong Chang en 2018 (2011-); thèse de doctorat sur "l'analyse des pathologies buccodentaires et des services dentaires, effectuée lors des Jeux Olympiques afin d'améliorer l'hygiène buccodentaire des athlètes" (2008)
"Dis voir", l'appli
Les Romands batoillent, mais de Sierre à Saignelégier leur accent varie. Le chercheur Mathieu Avanzi lance une application mobile pour étudier la diversité du parler romand. Le projet « Dis voir » invite les utilisateurs à enregistrer leur voix sur leur smartphone, à deviner des mots typiquement romands, et à tester leurs connaissances des accents régionaux.