Adrienne et ses fils_437
Adrienne et ses fils_437
De gauche à droite, Paul Pasquet (1908-1967), ensuite, selon Marilène Arnal-Guillard, il s'agit de sa maman (lettre de janvier 2013) : Lucie Roux, épouse Guillard (1884-1934), puis Pierre Pasquet (1918-2003), sa maman, Adrienne (1889-1969), André, son frère (1915-2007). La jeune fille est Marilène Guillard (née en 1924). Georges Pasquet (1911-1995) est assis à droite.
Je tiens la photo de Eula Pasquet, qui a indiqué la date de 1934. Pourtant la maman de Marilène est décédée en avril 1934 et la photo paraît prise en mai ou juin. Peut-être s'agit-il de l'année 1933 ?
Le temps a passé. Albert Pasquet, venu avec sa femme de Genève pour exploiter un domaine au Canada est décédé en 1929. Adrienne est veuve mais elle peut compter sur ses quatre fils.
Ils ont quitté la Suisse pour cesser de vivoter. Le Canada offrait de la terre aux gens intéressés à la cultiver. Leur installation au Canada a été très difficile. C'étaient de bons genevois, très citadins. Ils sont arrivés dans un immense pays en friche, sans village, à peine un hameau. Il n'y avait pas d'école pour les enfants. Mon grand-oncle est mort prématurément Le curé de l'endroit n'a pas voulu le faire enterrer dans le cimetière car mon grand-oncle était de confession réformée !!! Cela donne une idée du climat ambiant. Ce sont les deux fils aînés qui ont dû reprendre l'exploitation. Les deux derniers ont pu faire des études. Ils sont devenus médecin et ingénieur. Tous leurs descendants sont installés dans différents états du Canada.
http://www.notrehistoire.ch/photo/view/37442/http://www.notrehistoire.ch/photo/view/15334/http://www.notrehistoire.ch/photo/view/47082/http://www.notrehistoire.ch/photo/view/6535/http://www.notrehistoire.ch/photo/view/47315/
"Dis voir", l'appli
Les Romands batoillent, mais de Sierre à Saignelégier leur accent varie. Le chercheur Mathieu Avanzi lance une application mobile pour étudier la diversité du parler romand. Le projet « Dis voir » invite les utilisateurs à enregistrer leur voix sur leur smartphone, à deviner des mots typiquement romands, et à tester leurs connaissances des accents régionaux.