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Des constructions éphémères surgissent : trois arcs de triomphe sont érigés en ville, alor...
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La Gloire qui chante, due à l'historien fribourgeois Gonzague de Reynold, est jouée en 192...
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La Gloire qui chante est jouée en 1920 à Porrentruy et à Saint-Imier par un groupe de sold...
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Danseurs figurant dans l'opérette La Fête au village. La pièce retraçait la vie de Saint-I...
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Lorsque Saint-Imier accueille le premier tir cantonal organisé dans le Jura bernois, en 19...
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Groupe de danseuses interprétant La Fête au village. La forme du ballet fut choisie pour p...
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L'orchestre symphonique de Saint-Imier s'est produit lors de cette fête.
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Arc de bienvenue marquant l'entrée des festivités.
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Cortège, remise de la bannière, banquet et discours officiels articulent le rituel. L'espr...
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Carte postale officielle représentant Pierre Pertuis avec Tavannes en arrière-plan
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Service divin en plein air lors de la fête de tir
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Groupe de comédiens jouant une scène historique : la remise des biens d'Erguël en 1264
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La Fête cantonale bernoise de musique à Saint-Imier en 1929 comporte une pièce en trois ac...

Quand les Romands font leur histoire...
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Jeûne genevois
Il remonterait au début du mois d'octobre 1567, à l'occasion d'une répression contre les protestants lyonnais. Dès 1640, le jeûne est perçu comme un acte moral et religieux et devient annuel à l'initiative des cantons réformés. Il s'agit d'un acte d'humilité et de solidarité envers les plus démuni.e.s. Le seul repas de la journée est une traditionnelle tarde aux pruneaux.