Ce groupe présente la politique sociale sur les questions de l'accueil collectif de jours des enfants, de la femme dans le monde du travail, du 1er mai et de l'assurance maternité.
Il évoque les luttes et les engagements de nombreux parents militants mécontents des garderies municipales lausannoises,
Il présente les nombreux combats de militants lausannois à travers les journaux «Chroniques Sociales des années 1970 à 1982».
Il rappel l'engagement d'hommes et de femmes pour la libération de l'interruption de grossesses, pour une véritable assurance maternité, pour le droit de vote pour les femmes.
Il raconte des luttes contre le chômage, de l'extrême pauvreté des familles lausannoises, l'exclusion et l'immigration.
Il veut être une mémoire pour rappeler ces nombreux combats menés par tant de parents, d'hommes et de femmes engagés.
Il veut mettre en avant la place de la femme dans le monde du travail à une époque où celle ci devait travailler deux fois plus qu'un homme et souvent être payée deux fois moins qu'un homme pour trouver une place dans ce monde encore dirigé par les hommes. Il veut également montrer qu'il n'y a pas encore longtemps la femme devait choisir entre une carrière professionnelle ou une famille; aujourd'hui les filles ne savent pas que cette évolution est due uniquement à des femmes militantes et politiciennes !
Pour rappeler que si aujourd'hui la Ville de Lausanne peut s'enorgueillir, avec raison, d'offrir une excellente qualité de prise en charge des enfants en collectivités, que si aujourd'hui les pouvoir publics de cette ville sont convaincus du besoin de garderies dans notre cité, avec du personnel diplômé, et que le seul frein au développement de ce secteur est le manque d'argent…c'est grâce à ces militants courageux et tenaces.
Les articles, documents sonores, vidéo ou films doivent si possible concerner la ville de Lausanne.
"Dis voir", l'appli
Les Romands batoillent, mais de Sierre à Saignelégier leur accent varie. Le chercheur Mathieu Avanzi lance une application mobile pour étudier la diversité du parler romand. Le projet « Dis voir » invite les utilisateurs à enregistrer leur voix sur leur smartphone, à deviner des mots typiquement romands, et à tester leurs connaissances des accents régionaux.