La Maximag
La Maximag
LA DERNIÈR CRÉATION DE MOTOSACOCHE A GENÈVE MAXIMAG GRAND SPORT 1924
Illustré 5 avril 1924
MAXIMAG – Carouge GE 1922–1928
Illustré juillet 1924
La plus jeune , mais célèbre déjà et parée de toutes les qualités de Motosacoche
Marque automobile suisse, adoptée par l’ancienne fabrique de motos Motosacoche pour une série de véhicules construits entre 1923 et 1928. Les origines de la Motosacoche remontent à la fin du siècle dernier, lorsque certains partenaires, dont les frères Henri et Armand Dufaux, fondèrent une petite usine de moteurs auxiliaires pour bicyclettes. En 1905, l’entreprise a adopté le nom de Motosacoche et est passée des petits moteurs pour vélocipèdes aux moteurs de moto et aux motos complètes. Alors que celles-ci portaient la marque Motosacoche, les moteurs lâches ont été appelés M.A.G. Avec cette marque est apparu en 1914 un moteur de voiture 4 cylindres en ligne et 1.100 ce, avec distribution par arbre à cames en tête, dont la puissance était de 33 ch.
Au cours de l’après-guerre, l’entreprise a continué à construire des motos et des moteurs, parmi lesquels de nombreux bicylindres en V pour éjecter, et en 1922 est apparue la première voiture Maximag. Il s’agissait d’un véhicule de petite taille, équipé d’un moteur 4 cylindres en ligne avec soupapes latérales, de 1100 ce. Grâce au caractère sportif du moteur, il pouvait atteindre une vitesse maximale de 90 km/h. Offert dans les versions torpille, Cabriolet et conduite intérieure, le Maximag a été construit jusqu’en 1928, année où la Motosacoche a fermé ses portes. Les exemplaires construits étaient environ 200.
Source Motor GiGa
Publicité l'Illustré avril 1928
Mémoire(s) de Val de Bagnes
Le 14 mars 2025, la série de projections publiques «Mémoire(s) de Suisse romande», organisée par les archives de la RTS, déploiera son écran dans le Val de Bagnes en Valais. notreHistoire.ch s’associer à cet événement et vous invite à découvrir des reportages inédits, composés d’extraits d’archives et d’interviews actuelles, réalisés par les journalistes Noémie Guignard et Stéphane Gabioud.