Samuel BAUD-BOVY, vers 1937
Samuel BAUD-BOVY, vers 1937
Un portrait de Samuel Baud-Bovy publié dans le programme du concert du 20 janvier 1937, voir cette page (d-lib.rism-ch.org/onstage/?pag...) du splendide site onstage pour le programme complet.
Ce portrait a été fait - d'après la signature au bas de la photo à droite - par ATAR - les Ateliers artistiques de Genève, voir par exemple cette page du Dictionnaire historique de la Suisse pour quelques détails sur cette société anonyme d'arts graphiques. Le photographe: «L.Pernot, Paris», ainsi que mentionné en légende dans d'autres programmes de concert.
Deux splendides documents enregistrés sous la direction de Samuel Baud-Bovy sont sur Notre Histoire:
* Le devin du village de Jean-Jacques Rousseau
Le 16 septembre 1962, à l'occasion de l'année Rousseau (commémorant les 250 ans de sa naissance), la Télévision Suisse Romande diffusa Le Devin du village, intermède lyrique en 1 acte et en musique de Jean-Jacques Rousseau, avec une splendide distribution:
Basia Retchitzka,Colette; Eric Tappy, Colin; Pierre Mollet, le Devin. L'Orchestre de la Suisse romande et le choeur sont placés sous la direction de Samuel Baud-Bovy; ballet de Delly et Willy Flay. La mise en scène est signée Roger Burckhardt, les costumes d'Eric Poncy, les décors de Jacques Stern.
* Felix MENDELSSOHN, Concerto pour violon op. 64
Le vendredi 25 mars 1960 Samuel BAUD-BOVY dirigeait l'Orchestre de la Suisse Romande (OSR) dans un concert donné au Victoria Hall de Genève, avec des oeuvres de Schubert, Mendelssohn, Marescotti (Deuxième concerto carougeois) et Liszt (Les Préludes). Le soliste était Michel SCHWALBÉ, qui - de 1944 à 1946 et 1954 à 1957 - avait été le premier violon de l'OSR, avant d'être engagé par Karajan comme «Konzertmeister» de l'Orchestre Philharmonique de Berlin.

Quand les Romands font leur histoire...
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Voyager librement à la force du pouce, voilà le rêve des baroudeurs désargentés. Ce mode de déplacement qui prend son essor dans les années 60 s'apparente à une philosophie de vie. Mais l'auto-stop recèle aussi une part de fantasme et d'idéalisation et ne va pas sans quelques aléas et appréhensions. A l'heure ou les applications de covoiturage connaissent un large succès, revenons aux origines de la mobilité en partage.