Georg-Friedrich HÄNDEL, Concerto pour orgue et orchestre op 4 No 2, HWV 290 , Lionel ROGG, Orchestre Baroque de Genève, Jean-Marie AUBERSON
Georg-Friedrich HÄNDEL, Concerto pour orgue et orchestre op 4 No 2, HWV 290 , Lionel ROGG, Orchestre Baroque de Genève, Jean-Marie AUBERSON
Pour une courte description des concertos pour orgue de Händel, voir cet article de l'intégrale enregistrée par Lionel Rogg et Robert Dunand.
Ce concerto fut composé en 1735. Sa première audition eut lieu le 5 mars 1735, dans le cadre de l'oratorio «Esther», HMV 50b. Le premier mouvement est un développement de la sinfonia de son motet pour soprano «Silete Venti» (HWV 242). Le premier allegro utilise quelques motifs de sa sonate en trio Opus 2, No. 4 (HWV 389).
Le soliste est Lionel ROGG, accompagné par l'Orchestre Baroque de Genève dirigé par Jean-Marie AUBERSON. L'enregistrement est antérieur à l'intégrale des concertos pour orgue de Händel que Lionel Rogg a enregistré en 1966 avec Robert Dunand, étant paru sur le disque SMS 2358, donc bien avant la parution du coffret de l'intégrale SMS 2514/17. Il est fort probable que l'enregistrement date du début 1964 (en se basant sur la numérotation des disques Concert Hall qui - du moins dans les numéros 235x - 236x - était chronologique).
Pour quelques informations sur l'Orchestre Baroque de Genève voir le descriptif de ce fichier audio (http://www.notrehistoire.ch/medias/102327) avec le concerto No 1 HWV 289.
L'enregistrement que vous écoutez...
Georg-Friedrich Händel, Concerto pour orgue et orchestre op. 4 No 2 en si bémol majeur, HWV 290, Lionel Rogg, Orchestre Baroque de Genève, Jean-Marie Auberson, SMS 2358, 1964
01. A tempo ordinario e staccato 00:49 (-> 00:49)
02. Allegro 05:19 (-> 06:08)
03. Adagio e staccato 00:55 (-> 07:03)
04. Allegro, man non presto 04:00 (-> 11:03)
Provenance: disque Concert Hall SMS 2358
Images modifiées ou générées par l'IA
Depuis peu, l’intelligence artificielle arrive dans nos vies, pour le meilleur comme pour le pire. Elle permet de déflouter, coloriser et optimiser les témoignages historiques parfois de manière bluffante. Dans ce contexte, notreHistoire.ch et sa webédition a pris position pour défendre l'authenticité et la sincérité des documents publiés sur la plateforme.