Zofingue Neuchâtel « Séances Générales » de 1929
Zofingue Neuchâtel « Séances Générales » de 1929
Carte postale, non voyagée, éditée pour les Séances Générales 1929 de Zofingue Neuchâtel.
Voici la critique qu’en donne La Sentinelle du 22 février:
« Séances générales de Zofingue.
Attendues avec impatience par les nombreux amis que compte cette société, les séances générales de Zofingue ont débuté lundi et obtiennent un grand succès, En choisissant la comédie en trois actes de René Benjamin, « Il faut que chacun soit à sa place », Zofingue a eu la main heureuse. Une excellente interprétation, une bonne diction, des jeux de scène amusants, comiques, tout ‘contribua au succès de cette première partie du programme, Bourdeducq (J. C.), homme d'action dans toute l'acception du terme, a certes été le meilleur sur les planches, Cchochnam (G.-H; P.) fut un acteur de talent et « Sémiramis» (Mlle A. C.) s'est révélée une artiste distinguée. Le nombre des personnages est trop grand pour qu'on puisse faite la critique de chacun d'eux ; en général, tous les rôles furent bien tenus. Dans « Anabase », drame en 17 épisodes, on trouve quelques allusions à l'instituteur, aux féministes, à la Croix-Bleue, Les acteurs' ont donné tout ce qu'ils ont pu et ont rendu à la satisfaction générale cette pièce difficile à interpréter, mais encore davantage à comprendre. Les auteurs ont trop recherché la littérature et la poésie. Beaucoup ont regretté les « montures » auxquelles nous étions habitués. Souhaitons qu'on y revienne une autre année, elles sont plus à la portée de chacun. Le riche mélange des couleurs, une mise en scène soignée ont réjoui les yeux et nous nous plaisons à féliciter M. J. C, auteur de ce drame, Nous rappelons que la séance populaire a lieu demain samedi, à 20 heures, au Théâtre. »
Le Fonds Chappuis à Photo Elysée
Suite à la donation du Fonds Pierre Auguste Chappuis (1888-1980) à la Fondation Plateforme 10 à Lausanne. notreHistoire.ch est allé à la rencontre de Photo Elysée pour mieux comprendre la politique d'acquisition de l'institution. La conservatrice Fanny Brülhart a répondu à nos questions.