Je ne serai pas soldat
Politique et Société: Engagement
"Tout Suisse est tenu au service militaire", cet article inscrit dans la Constitution fédérale du 29 mai 1874 aura décidé du sort des objecteurs de conscience dans notre pays jusqu'en 1996. En attendant une vraie alternative à l'engagement dans l'armée, quelque 22'000 Helvètes ont payé de la prison le refus de porter l'uniforme. Retour sur ces douloureuses années de débat.
Une galerie animée par 
Les archives de la RTS
Les archives de la RTS Contributions de Les archives de la RTS. Annuler
Vidéo
«Ou bien on se suicide, ou bien on se drogue», déclare une détenue de Champ-Dollon dans ce...
Vidéo
1981, le Département militaire fédéral est l'hôte du Comptoir suisse de Lausanne. Cette pr...
Vidéo
En ce samedi de la fin du mois d'octobre 1989, la Place Fédérale accueille plusieurs milli...
Vidéo
Choisir la prison plutôt que l'armée, une décision parfois incomprise mais qui mérite le r...
Audios
En 1955, Théodore Monod raconte l'une de ses expéditions dans le Sahara occidental (probab...
Vidéo
Diffusée chaque semaine dans le 12h45, la rubrique Passé Re-Composé se propose de nous fai...
Vidéo
Continents sans visa mène l'enquête en 1961 et interroge notamment Jean-Jacques Chouet, jo...
Vidéo
"Tout homme de nationalité suisse est astreint au service militaire. La loi prévoit un ser...
Vidéo
1er octobre 1996, la loi sur le service civil entre en vigueur, après plus de 90 ans d'att...
Vidéo
Août 1977, la campagne lancée par la Coordination helvétique des Objecteurs de Conscience...
Vidéo
En mai 1991, on s'apprête à voter en Suisse sur la révision du Code pénal militaire ou "la...
Nos vies : un siècle d’histoire des Suisses par leurs images
112,168
7,007
© 2024 FONSART. Tous droits réservés. Conçu par High on Pixels.
Le Fonds Chappuis à Photo Elysée
Suite à la donation du Fonds Pierre Auguste Chappuis (1888-1980) à la Fondation Plateforme 10 à Lausanne. notreHistoire.ch est allé à la rencontre de Photo Elysée pour mieux comprendre la politique d'acquisition de l'institution. La conservatrice Fanny Brülhart a répondu à nos questions.