C.P.E. BACH, Concerto pour clavecin, Wq 17, Isabelle NEF, EO Oiseau-lyre, Pierre COLOMBO, 1956
C.P.E. BACH, Concerto pour clavecin, Wq 17, Isabelle NEF, EO Oiseau-lyre, Pierre COLOMBO, 1956
Carl Philipp Emanuel Bach (1714-1788), le deuxième fils de Jean-Sébastien Bach et de sa première femme Maria Barbara Bach, a été pendant près de 30 ans claveciniste à la cour de Frédéric II de Prusse: le clavecin - ou plus généralement les instruments à clavier - occupent donc une place importante dans ses compositions, c'est aussi la part la plus originale de sa production musicale. Carl Philipp Emanuel Bach composa ce Concerto en ré mineur, Wq 17, en 1745.
L' interprétation qui vous est proposée sur cette page est tombée dans l'oubli... Isabelle NEF au clavecin, accompagnée par un orchestre nommé «Ensemble orchestral de l'Oiseau-Lyre» placé sous la direction de Pierre COLOMBO. L'enregistrement paraît sur la première face du disque L' Oiseau-Lyre OL-LD 153 (disque, photo des étiquettes à gauche) resp. OL 50138 (pochette), avec le concerto BWV 1052 de Johann Sebastian Bach sur l'autre face.
Sa première parution date de 1957: il est par exemple présenté dans la revue «The Gramophone» de juillet 1957, en page 62 - je n'ai pas encore pu trouver de datation plus exacte, pas non plus pour les enregistrements eux-mêmes: si une personne visitant cette page devait en savoir plus, toutes informations m'intéressent -> commentaire ou couriel!
Il s'agissait alors du premier enregistrement mondial de ce concerto pour le disque!
L' enregistrement que vous écoutez...
Carl Philipp Emanuel Bach, Cembalokonzert in d-moll, Wq 17 (H 420), Isabelle Nef, Ensemble orchestral de l'Oiseau-lyre, Pierre Colombo, OL-LD 153 / OL 50138
1. Allegro 06:39 (-> 06:39)
2. Un poco adagio 07:29 (-> 14:08)
3. Allegro 06:18 (-> 20:26)
Provenance: OL-LD 153 / OL 50138
Difficile de ne pas se laisser emporter avec grand plaisir aux rythmes doux et joyeux de ces sons pétillants, si j'ose dire ainsi...et bonne chance pour obtenir de l'aide afin de compléter votre puzzle ici présent cher monsieur Gagnaux