Dans la Véranda
Dans la Véranda
A la véranda du chalet « Les Lilas Blancs », route de St-Luc, Vissoie, printemps 1941.
Martine Florey-Perruchoud (1895-1980), épouse d’Edouard (1901-1985) avec son dernier né Jean-Paul (1940-1978).
A remarquer: En haut à droite l’appareil téléphonique, modèle batterie locale.
Pour l’utiliser il fallait décrocher le récepteur (à gauche de l’appareil), tourner la manivelle (à droite de l’appareil), parler dans le microphone (sous la sonnerie). L’opératrice (Crésence Monnier 1871-1960) répondait : Centrale de Vissoie ! On lui indiquait le numéro souhaité qu’elle reliait, connectait, établissait la liaison au moyen d’un cordon, câble avec « jack ».
A gauche de la photo, au-dessus de l’épaule droite de Martine : deux prises de courant électrique 110 V, voltage usuel jusqu’au milieu des années 1940 (220 V).
Au-dessus des prises : on aperçoit le coin d’une carte géographique sur laquelle on suivait les événements de la deuxième guerre mondiale. L’appareil radio se trouvait aussi dans cette pièce.
Archives de Paul-André Florey, Dübendorf et Vissoie, juin 2021.
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Intéressante photo grâce à tous ces détails. Et l'enfant repose dans un berceau qu'autrefois ma mère appelait un moïse, probablement en référence au panier d'osier dans lequel Moïse fut déposé et avec lequel il flotta sur le Nil avant d'être découvert par la fille du pharaon... (une histoire biblique).
Merci cordial Claire pour votre aimable commentaire. Oui, chez nous nous appelions aussi ce berceau "le moïse".
Paul-André Florey
Cher monsieur Paul-André Florey, en effet en ayant classé votre photo déjà bien parlante et surtout très touchante dans l'ensemble, sous la galerie concernant les téléphones, javais volontairement omis d'ajouter encore plus en ayant prise pour évident, que ce berceau n'échapperai pas au yeux d'autrui...toutefois pour le plaisir de tous j'ajoute ce lien pour les intéressés du petit moïse et son histoire: fr.wikipedia.org/wiki/Moïse
Chère Madame Rovetto. Merci du complément d'information concernant le "moïse". Très intéressant.
Merci à vous cher monsieur Paul-André Florey pour votre appréciation