Une plateforme repensée

David Glaser
David

A tous les membres de notreHistoire.ch, un grand merci d'avoir rejoint ce mouvement suisse romand. Merci d'avance aussi à ceux qui décideront d'en faire partie ultérieurement. Quelques mots pour vous dire (certains d'entre vous sont déjà au courant) que votre plateforme va évoluer avec de nouvelles fonctionnalités et une présentation plus claire.

Avec cette nouvelle version de notreHistoire.ch, vous pouvez publier, partager, commenter, liker toutes les publications, créer des galeries avec vos documents ou ceux des autres membres, rédiger des articles, participer à des mini-communautés selon vos centres d'intérêt... Nous vous expliquerons tout en détail le mardi 4 juin lors de la réouverture.

Notez cette date sur vos agendas. Le 4 juin, ce sera la date d'un nouvel élan pour votre plateforme collaborative. Sachez que nous devrons mettre l'actuelle version de notreHistoire.ch en sommeil du 29 mai au 3 juin inclus pour permettre à tous vos documents de prendre place dans la toute nouvelle plateforme. Merci pour votre fidélité et au plaisir de vous revoir le 4 juin.

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  • René Gagnaux

    "liker"... Est-ce-qu'il n'est pas possible d'utiliser un terme de la langue française, comme par exemple tout simplement apprécier? Je sais bien que les "like" et "liker" sont à la mode, mais tout anglicisme me hérisse, encore plus quand son emploi résulte d'une mode.

  • Renata Roveretto

    Monsieur Gagnaux René j`apprécie vraiment vôtre remarque et la proposition faite.

  • David

    Bonjour chers René et Renata, je comprends votre point de vue. Je le regrette aussi, étant moi-même un admirateur de la langue française. Le problème que nous avons aujourd'hui est principalement celui de l'usage de ces termes. Une grande majorité d'utilisateurs en Suisse romande comme en France va utiliser "liker", je ne suis pas sûr que ce soit le cas au Québec. "Liker" apparaît à la fois dans le langage oral à propos de Facebook (même si la mention "J'aime" du pouce en l'air est aussi usitée), sur Instagram ou sur Twitter. Nous aimons bien "liker", un terme générique qui sonne bien et surtout répond aux usages de nos concitoyens et amis étrangers... Et on se doit de suivre les usages, non?

  • Yannik Plomb

    Non, car si l'on regarde qui participe à nH je pense que la majorité n'utilse pas ce language! Marcel Proust disait "Ce n'est pas dans la nouveauté, c'est dans l'habitude que nous trouvons les plus grands plaisirs." Il serait intéressant de connaître l'avis d'autres n Historiens Cordialement

  • René Gagnaux

    Merci pour votre réponse! Suivre les usages? Seulement les bons usages, pas les mauvais ;-) Franchement, je trouve ce terme de "liker" absolument déplacé, tout aussi bien que "like", et bien d'autres anglicismes.

  • Albin Salamin

    Oui, le problème de la mode actuelle est d'utiliser des anglicismes et je pense qu'on ne pourra pas lutter contre cela. Je le regrette un peu car de plus maintenant notre langue est massacrée par les utilisateurs des réseaux sociaux et de la messagerie instantanée. Il faut faire vite et avec peu de lettres. Et sans remarque à propos de l'orthographe de nos chers adolescents voir jeunes adultes.

  • Yannik Plomb

    Oui nous le pouvons, nH n'est pas dans le cercle des"médias sociaux bas de gamme", et je pense que très peu des membres de nH font partie de la génération "pouce en haut"! Ce site est d'une grande qualité ce qui le différencie des autres et vouloir ressembler à tout prix à la médiocrité ne va pas apporter grand chose. La génération pouce en haut nous offre surtout des "autoportraits embellis à grand renforts de filtres plus ou moins sophistiqués" Quid de l'Histoire. Et à voir la majorité des utilisateurs de nH ont le TEMPS de faire les choses bien, et en attendent de belles découvertes

  • Renata Roveretto

    Un grand merci pour vos réponses et j'admire la lucidité de monsieur Yannik Plomb qui va un peu plus loin que l'imitation simple qui surtout pour des gens qui, connaissent certainement beaucoup mieux que moi le domaine de l'histoire devrait à mon avis les amener a plus de réflexion au lieu de suivre le tout et n`importe qui et ou quoi ! Ceci autant de plus que on parle de notre patrimoine lequel ici est représenté que je sache par la langue française et trois autres langues du pays,et en tous les cas pas par la langue imposée.

  • Philippe Chappuis

    Le langage n'a pas cessé et ne cessera de se modifier au cours du temps de l'humanité, il n'a rien en lui d'absolu ni de définitif. Son origine est nourrie de son seul usage au sein d'une communauté. Il résulte du lien entre un son (signifiant) et sa signification (le signifié). Le mot n'existe donc que si une convention est passée entre les membres d'un groupe social et ne s'impose que par le plus grand nombre d'utilisateurs. Notre mémoire personnelle se nourrit de notre expérience et de nos affects. Notre mémoire collective, elle se modifie sur un mode qui relève plus d'un mouvement aléatoire, sans véritable pilote. Pour que 2 personnes se comprennent, il est donc indispensable qu'ils utilisent le même référentiel. Pour préserver la mémoire passée et son charme , rien de mieux que l'écrit, scripta manent verba volant, les écrits demeurent et les paroles s'envolent...

  • Renata Roveretto

    Vos écrits cher monsieur Philippe Chappuis sont le baume du tigre de la plateforme présente, ceci avec tout les ingrédients nécessaire à l`harmonie désirée

  • Michel Savioz

    Moi je propose "io langmo", "j'aime" en patois d'Anniviers. ?

  • Renata Roveretto

    Monsieur Savioz Michel, une bonne histoire " io langmo " autant de plus, que les patois romands sont à présent reconnus et inclus dans le patrimoine en suisse

David
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20 mai 2019
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