Une première tentative d’unification
Une première tentative d’unification
En cherchant à la Bibliothèque cantonale et universitaire, on y trouve un journal appelé “La Jeunesse vaudoise” qui fut publié entre 1900 et 1902. Le rédacteur responsable se nommait Auguste Mérinat (1877-1959). Dans ce journal se trouve des renseignements en faveur des jeunes et de la danse, ainsi qu'une diatribe à l'encontre d'autorités locales parfois opposées à l'organisation des fêtes. Par exemple les autorités de Pully refusait la location d’une salle à la société société de jeunesse La Fraternité. “Quelques jeunes gens énergiques prirent 1 'initiative de former une sorte de ligue pour résister, dans la mesure du possible, aux rigueurs de nos édiles. Tel fut le point de départ de cette association unissant sans distinction de parti tous les jeunes Vaudois désireux de goûter les innocents plaisirs de la danse", que nous pouvions lire. Les rédacteurs de ce journal désiraient de soutenir philanthropiques et de bienfaisance, tout en suscitant une mise en honneur du chant populaire. Le 11 novembre 1900, avait été élu président du nouveau groupement chargé de défendre les jeunesses et leurs plaisirs. Pourtant, l'existence de cette association, dénommée la «Fédération des jeunesses vaudoises», fut de courte durée.
Liberté et Privation sont ils pas inséparables et portent ils pas le visage de l'infini...