La malbouffe des moineaux
La malbouffe des moineaux
En 2010, le magazine Couleurs locales consacre un sujet à la malbouffe des moineaux dans les villes. Neuchâtel n'échappe pas à la règle. Du fait de la raréfaction des insectes, les oiseaux se rabattent sur le pain et les restes de junk food. Or, comme le rappelle le conservateur-adjoint du Musée d'Histoire naturelle Jean-Paul Haenni, les oisillons ont besoin de graines et d'insectes pour survivre.
Les moineaux se font donc de moins en moins nombreux dans nos villes. Le phénomène est confirmé par une étude de 2017 qui signale la disparition des trois quarts des piafs de Paris sur une période de quinze ans. La pollution, les ondes électromagnétiques et l'architecture accentuent encore un mouvement qui peut être constaté dans toutes les villes européennes.
Journaliste : Thierry Clémence
Bonjour, l'histoire de ces moineaux m'a fait penser aux pigeons que j'observais durant le confinement, semi-confinement. Pigeons lesquels étaient redevenus de plus en plus beaux, svelte, plus calme avec un plumage brillant et visiblement en excellente santé, comme je ne les avait plus jamais vues avant le confinement du au coronavirus. Effectivement moins de monde, moins de malbouffe qui traine partout cela se remarqua jusque dans les plus petits détails de tout genre...