Oh... le charme disparu? Aujourd'hui, nos ruelles sont bien entretenues alors qu'à l'époque, elles étaient jonchées de matériel, d'appentis accolés (comme sur la photo), de tôles à moitié rouillées... de chenis, comme on dit. Je ne défends ni cette période, ni ne me gargarise de celle d'aujourd'hui, mais il y a du bon et du moins bon partout. Par contre, j'ai de la peine à reconnaître l'endroit exact de cette prise de vue. J'essaie de me renseigner et de trouver le pendant actuel.

Je ne doute pas du charme que le village de Grimentz a su garder mais le manque de planification dans la construction des nouvelles routes, des nouvelles constructions et du bétonnage de certains lieux, a également permis quelques laideurs comme dans bien des autres villages d'Anniviers.

Salut Nicole. C'est la place de la scierie à droite la grange le moulin caché par la grange une écurie le raccard et avec le toit en tôle le parque des chèvres à gauche la scierie, tu vois le changement Bisous Gertrude

Bonjour Albin. C'est juste lorsqu'on sort du vieux village, j'avais pas vu ça comme ça. Or, s'agit-il de manque de planification? Pas vraiment, mais des mentalités qui ont évolué avec une vue de l'esprit qui, durant les grandes années de développement et de la mobilité, ne tenait pas compte des valeurs terrestres qui sont désormais essentielles à notre subsistance. Comment reprocher à nos parents d'avoir fait des erreurs puisque c'est là-dessus qu'on se rend compte et apprend. Seuls ceux qui en sont restés à "l'âge de la pierre" ne les auront pas commises et il y en a, à ma connaissance, bien peu. Le constat est en tout cas fait pour la globalité de notre canton, ces derniers temps. Que dire du reste de la Suisse? Aïe, mais ceci est un long sujet ;-)

Chère Nicole, tout à fait d'accord. Cependant certaines communes comme St-Luc ont laissé construire quelques "horreurs" avec l'excuse de l'absence de plan de zone. Il y a quelques verrues difficiles à effacer et je trouve cela dommage.