Repérage
St-Jean, Promenade du dimanche

St-Jean, Promenade du dimanche

Editions Perrochet, Lausanne
Albin Salamin

Probablement après la messe, une promenade sur la route entre Vissoie et Grimentz. Les femmes semblent porter à leurs mains l'étoffe blanche qui était portée durant certaine processions en Anniviers, comme ci-dessous:

Cela me rappelle une photo de ma tante à la sortie de l'église à St-Luc, qui, elle aussi portait cet habit pour les processions.

* Carte postale dont nous ne connaissons pas la date mais probablement envoyée d'Anniviers à Paris. Le texte au dos de la carte m'interpelle et j'aimerais le partager en partie avec les membres de notrehistoire.

"Juillet, Malheureusement, en ce moment je ne connais aucune jeune fille pouvant vous convenir, mais je ne désespère pas et dès que j'aurai trouvé la perle que je cherche pour vous, je vous avertirai...." (puis des salutations). En conclusion du texte, nous pouvons lire: "Merci pour votre invitation ainsi que celle de mon père. Je ne crois pas que Paris me revoie de sitôt. Amicales pensée de Tante".

Une jeune fille à marier? Une jeune fille comme bonne au service d'un homme ou d'une femme ou d'une famille? Pourquoi cette personne ne veut plus retourner à Paris? Est-ce à cause de la guerre?

Merci pour vos commentaires.

A propos de la chapelle de St-Jean voir le document:

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  • Claire Bärtschi-Flohr

    Bonjour, je dirais qu'il s'agit d'une demande pour une jeune bonne qu'une famille valaisanne, sans doute expatriée, désire engager. Quant à la tante, elle ne veut pas retourner à Paris car la grande ville lui a déplu. Elle préfère sa région de montagne..

  • Albin Salamin

    Oui, effectivement, c'est la plus belle solution. Je pensais à un mariage arrangé!