Une amphore comme piédestal

Une amphore comme piédestal

1 janvier 1951
inconnu
Pierrette Frochaux-Chevrot

Couturière, Albertine mettait un soin particulier à sa toilette. Pour elle l'élégance était une priorité non pas juste pour l'apparence mais comme une forme de politesse que l'on devait aux autres lorsqu'on avait franchit le seuil de sa demeure. Bien coiffée, le rouge et le sourire aux lèvres, toujours impeccable mais sans ostentation, une citadine genevoise, élégante et sobre.

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11 février 2013
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