Corvée de battage des couvertures

Corvée de battage des couvertures

1917
J. Rossi-Vogt, & Fils, Grandson & Colombier
Stéphane Thurnherr

Photographie tirée en format carte postale, non voyagée, montrant la corvée de battage des couvertures sur la place d’armes de Colombier. Il pourrait également s’agir d’un exercice de préparation de brancards. La scène se déroule à côté du restaurant du Régional à la station de tramway à Colombier. Vers 1915-1917.

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  • Renata Roveretto

    Cher monsieur Stéphane Thurnherr,

    merci pour la publication de cette image laquelle attire bien le regard et éveille une certaine curiosité

    La production de couvertures de l'armée suisse a commencé à la fin du XIXe siècle et a duré jusqu'au début des années soixante. Leur domicile se trouvait dans des grottes des Alpes suisses, qui servaient de dépôts militaires. La qualité des couvertures authentiques de l'armée Suisse en font un produit très recherché encore de nos jours et c'est pour cette raison que la fabrication, bien que pas toujours tout à fait identique avait reprise après l'arrêt de l'original très connu. La couverture militaire était normalement faite à 100% de laine de mouton avec les propriétés suivantes : chaude, douce, infroissable, résistante à la traction, absorbant l'humidité et lavable jusqu'à 30 degrés. Seulement là je m'en inquiète très sérieusement car il y a évidemment des pour et des contre et voici pour bien comprendre :

    La laine, tout comme la laine mérinos, est éprouvée depuis des siècles et reconnue aujourd'hui pour offrir des fonctionnalités inégalées par les autres textiles.

    blogs.mediapart.fr/edition/dro...

    Amicalement Renata