Dans le Sankt-Galler Tagblatt On retrouve cette photo Clara Haskil bei einer Aufnahme im Studio. (Bild aus: Jérôme Spycket: Clara Haskil) Tristesse qui donne du bonheur En 1960, l'un des plus importants interprètes de Mozart est décédé avec Clara Haskil. Sur CD, cependant, le pianiste, qui est étroitement lié à la Suisse, est toujours aussi vivant. Récemment, le Festival de Lucerne a publié un enregistrement de 1959 et une cassette a été publiée il y a trois ans. Son jeu est brillant et précis, il a une grande naturalité. Elle aime le son transparent et choisit plutôt un tempi rapide. Chaque note a quelque chose d’individuel, d’indépendant. Et : en ce qui concerne Mozart, Clara Haskil est une classe à part. Encore aujourd'hui, plus de cinquante ans après sa mort surprise en décembre 1960. "Je joue de cette façon parce que je le sens bien", a-t-elle déclaré. "Je ne sais pas pourquoi." https://www.tagblatt.ch/kultur/traurigkeit-die-glueck-schenkt-ld.922720

Avait-elle une sœur? Car je n'en trouve aucune trace à part celle-ci! Dans le Ménestrel journal de musique de Paris du 18 mars 1921 Le Havre A la salle des employés des Nouvelles Galeries, les sœurs Clara et Juana Haskil de passage dans notre ville, se sont fait applaudir dans diverses compositions de Haydn, Scarlatti, Bach, Chopin, et dans les jolies danses bohémiennes de Sarasate (G.Letord)

Un grand merci pour avoir cherché! Le lien sur le Tagblatt - et la photo parue dans le livre de Jérome Spycket - est très intéressant! Je n'ai malheureusement pas ce livre "sous la main", vais essayer de l'obtenir en prêt, pour voir si la source exacte de la photo est mentionnée. Pour cette "Juana", il s'agit probalement de l'une des deux soeurs cadettes de Clara Haskil, qu'on connaît mieux - du moins en pays de langue française - sous le prénom de Jeanne (l'autre soeur est Lili).