Poèmes écrits par Elisabeth impératrice d'Autriche (dite Sissi)
Poèmes écrits par Elisabeth impératrice d'Autriche (dite Sissi)
Une écriture fiévreuse, étrange, sans rature : celle d’Elisabeth d’Autriche, dite Sissi.
Elle a écrit plus de 250 poèmes entre 1885 et 1888. Sauf quelques proches, personne n’était au courant. Lassée de la vie, elle s'y livre en toute liberté, critiquant abondamment la monarchie dont elle pressent la fin. Ces poèmes constituent son « bien le plus précieux » qu’elle lègue à la Suisse à sa mort, avec une mission précise : les publier en 1950 et verser le produit de la vente aux « descendants des condamnés politiques de la monarchie austro-hongroise ». Mais ça ne sera pas si simple... Une histoire méconnue, qui donne une tout autre image de cette femme au destin tragique, et qui mérite d’être découverte dans le numéro de septembre de la revue Passé Simple (disponible sur commande à abo@passesimple.ch ou dans les librairies).
Les manuscrits originaux sont disponibles sur le site des Archives fédérales (Chants de la mer du Nord et Chant d'hiver, 1e partie).
Traduction de la 1e strophe du poème, page de droite : "Je ne suis mouette d’aucun pays / Je n’appelle aucun rivage ma terre natale / Ni lieu ni place ne me lient / Je vole de vague en vague." C'est ainsi qu'Elisabeth/Sissi se définissait.
Nos vies : un siècle d’histoire des Suisses par leurs images
Chère madame Sylvie Savary,
merci pour votre publication à laquelle je me permet d'ajouter quelques lignes accompagnées d'images, voici :
Un détail de la robe de la sculpture Sissi dans un beau parc à Montreux-Térritet . Avec une Inscription en bas sur le socle du monument comme suit: " A la mémoire de sa majesté l`impératrice et reine Élisabeth en souvenir de ses nombreux séjours à Montreux "
Prise de vue faite en 2019 derrière le bâtiment à présent appelé L'Alcazar ( la calèche Musée ) des restes délaissés des sculptures "SISSI"
En 1975 l'hôtel des Alpes-Grand-Hôtel cesse ses activités. Le halle principal et la salle à manger sont transformés en Théâtre "Alcazar", alors que les chambres accueillent le musée national suisse de l`audiovisuel. Il a dû fermer ses portes en 2008 et a quitté les lieux en 2012.
Actuellement le Bâtiment est classé comme " Bien Culturel d`Importance National ".
Amicalement Renata
Chère Madame, merci pour vos compléments. Le monument à Elisabeth, situé à Territet est l'oeuvre du sculpteur tessinois Antonio Chiattone, à qui Elisabeth avait acheté en 1894 une statue intitulée "Il dolore". Cette statue est toujours visible à Vienne, à la Villa Hermès. Plus tard, elle passe commande à Chiattone d'un monument funéraire en souvenir de son fils Rodolphe, qui s'était suicidé à Mayerling. Ce monument est inauguré en 1895 dans le parc de la villa "Achilleion" à Corfou. Il n'en subsiste qu'un relief actuellement. Quant aux sphinx censés représenter Sissi et qui sont aujourd'hui cachés à l'arrière du Grand Hôtel des Alpes, ils sont relativement récents et d'un goût douteux - c'est du moins mon avis ! Sylvie Savary
Chère madame Sylvie Savary,
A propos douteux je ne vois absolument pas en quoi. Pour ma part j'en ai aucun doute, tout simplement, parce-que je ne sais pas, un point c'est tout. Et de plus elles ne sont pas cachées du tout juste un peu délaissées ces sculptures sphinx.
Et oui à propos du nom du sculpteur lequel j'avais effectivement déjà cité dans une de mes anciennes publications en rapport de la sculpture de Sissi dans le parc, je me permet d'ajouter un peu plus, voici :
Antonio Chiattone né à Lugano le 18. mai 1856, était le Grand frère du Sculpteur Giuseppe Chiattone et aussi l'oncle de l'architecte Mario Chiattone. (source Wikipédia)
et en quelques mots :
hls-dhs-dss.ch/fr/articles/021...
et concernant ce cher Rodolphe d'Autriche, puisque on en parle autant mettre l'histoire aussi complète que possible à disposition de tout le monde, voici :
Il est le Fils de l'empereur François-Joseph Ier d’Autriche et d'Élisabeth de Wittelsbach (dite « Sissi ») Par sa naissance archiduc d’Autriche et prince héritier de l’Empire austro-hongrois, il meurt à 30 ans dans des circonstances mystérieuses aux côtés de sa maîtresse Marie Vetsera, dans le pavillon de chasse de Mayerling.
Et voici pour apprendre bien plus le lien au complet :
fr.wikipedia.org/wiki/Rodolphe...
Amicalement Renata