Francine Simonin, "Salut Michaux"
Francine Simonin, "Salut Michaux"
Francine Simonin a fait la connaissance de Victor Desarzens mon père lorsqu'elle était encore à l'Ecole Cantonal des Beaux Arts à Lausanne.
Jeunes, nous connaissions Francine et parlions d'elle à la maison; notre père nous a vivement recommandé de l'inviter à Aran, ce que nous avons fait, en 1958, lorsque nous l'avons invitée, en l'accueillant mon père lui a dit...
" Ah, c'est toi la petite peintre ?
Viens t'assoir..." Tant et tant de discussion entre ces deux artistes; Victor l'aîné, le mentor et Francine, la jeune l'étudiante aux Beau-arts.
Dès cette date Francine Simonin a fait partie de la famille, du clan Desarzens.
A la mort de Victor Francine nous a dit..." Un artiste, qu'il soit peintre ou chef d'orchestre-j'ai compris au contact de Victor- n'a d'autre choix que d'avoir quelques chose à dire...ou se taire."
Voir aussi :http://www.notrehistoire.ch/photo/view/39952/?msg=photoUpdateSuccess

Quand les Romands font leur histoire...
Jeûne genevois
Il remonterait au début du mois d'octobre 1567, à l'occasion d'une répression contre les protestants lyonnais. Dès 1640, le jeûne est perçu comme un acte moral et religieux et devient annuel à l'initiative des cantons réformés. Il s'agit d'un acte d'humilité et de solidarité envers les plus démuni.e.s. Le seul repas de la journée est une traditionnelle tarde aux pruneaux.