Noël à l'étable en 1955
Noël à l'étable en 1955
Danièle Caloz (*1942) est une historienne enthousiaste. Née à Réchy près de Sierre, titulaire d'un brevet d'enseignement, elle a exercé au Nigéria puis au Canada. Puis ses études universitaires lui ouvriront les portes de TVOntario avant de fonder sa propre compagnie, Médiatique inc. en 1994. Dès lors, elle se consacrera à la production télévisuelle à Toronto, principalement en langue française, jusqu’en 2019. Elle cofondera aussi la Société d’histoire de Toronto.
Mais Danièle n’oublie jamais ses racines valaisannes. Dans cette capsule, elle évoque une merveilleuse histoire de Noël qui s'est passée à Réchy, le village de son enfance, en 1955. Ca pourrait être un conte de Noël, c'est pourtant authentique.
Une citation
Dans le Réchy des années 1950, les vagabonds qui n’avaient pas trop de domicile, de moyens ou d’aptitudes trouvaient toujours à aller manger dans quelques cuisines. Mais quand il s’agissait de dormir, tout un chacun disait la même chose : « Va chez les Devanthéry ! »
En cas de difficulté de lecture
une copie se trouve sur Youtube à cette adresse.
Musique de
Thierry Epiney : Oasis hypnotique extrait de "Contre vents et marées". Voir son site à cette page.
Que du plaisir à écouter, à découvrir.
Merci beaucoup!
Récit émouvant 🥲. Et si bien relaté 🤗. Merci!
Merci beaucoup!
Un très, très grand merci pour ces réalisations et partages. L'art de raconter de Madame Danièle Caloz est fantastique, ses souvenirs sont des joyaux, et ils sont tellement bien illustrés. Merci Pierre-Marie!
Nous en redemandons, c'est vraiment l'histoire comme nous l'aimons. Bravo
Vous avez raison, la parole c'est bien, mais les illustrations aident beaucoup! Bravo Pierre Marie!
Merci beaucoup pour l'encouragement, j'en prépare encore quelques-unes!
A travers l'évocation épique de la grande famille des Devanthéry et de leur bâtiment qui servait de maison d'école, Danièle Caloz raconte une histoire de Noël qui n'est pas sans rappeler celle de Bethléem. On comprend pourquoi elle s'est fixée dans sa mémoire et dans son cœur. Et la question qu'elle se posait, enfant - "Nous, Réchards, on aurait pu faire mieux ou plus"- résonne avec des accents d'une dramatique actualité.
Merci Nicolas, tu as vu juste. Et je peux dire qu'avec mon mari nous avons vraiment essayé de faire plus et mieux.