Cher monsieur Philippe Chappuis

Merci et voici un petit complément sans approfondir le sujet du Bourgogne :

"Hardi le bouillon, ce que femme veut , Dieu le veut "

fr.wiktionary.org/wiki/ce_que_...

Amicalement Renata

Merci d'avoir cherché une explication pour cette double expression. Pour Emile Littré, pas de doute, ce que femme veut Dieu le veut, signifie que les femmes par leur persévérance finissent toujours à faire ce qu'elles veulent, c'est bien ainsi qu'on le comprend, c'est une chose, mais le noeud c'est "Hardi le bouillon !!! ".... bouillon de onze heures pour ce pauvre cochon ?, Perspective d'un bon bouillon, tout est bon, dans le cochon ! Peut-être un peu tout cela !

Bonjour

Voici encore plus pour ouvrir l'imagination (mot hardi) et pour au final s'arrêter au simple fait que ces pauvres cochons ont intérêts d'être très endurcis pour accepter leurs sort sans brancher. Sans parler de l'exécutant !

fr.wiktionary.org/wiki/hardi

dictionnaire.lerobert.com/defi...

Réponse : QUE LE BOUILLON SOIT FORT EN GOÛT !!!

Et voici encore une vidéo :

notrehistoire.ch/entries/ZnYJK...

Amicalement Renata

Il me semble difficile d'exclure le cochon

“Tout cochon a dans son coeur un homme qui sommeille.” “Dans le cochon, tout est bon, même l'intérieur.” “Fais du bien à un cochon, et il viendra chier sur ton perron.” “La patrie d'un cochon se trouve partout où il y a du gland.” (tiré du net)

( En réponse à monsieur Yannik Plomb dont les répliques ont apparemment disparues )

Amicalement Renata

Du moment que vous parler de (d'un ) travail cela se complique, car à ce moment là ça veut dire encourager une personne dans son masochisme. Est-ce que d'aller tuer un cochon nécessite du masochisme ?

( En réponse à monsieur Yannik Plomb dont les répliques ont apparemment disparues aussi ici endessus)

Amicalement Renata

Bonsoir, en agrandissant la photographie de PAC je ne pense pas que l'on puisse écarter la présence de 2 animaux à peau claire sans fourrure qui pourraient correspondre à celle de 2 cochons.Il me semble que l'on peut même repérer un groin... Un personnage de profil semble porter un long tablier blanc d'où dépasse ce qui pourrait être une robe, probablement une femme qui semble assez active ! L'autre personnage, tout à D, semble être aussi féminin si l'on en croit la présence d'une robe . Et aussi un homme avec chapeau et une hotte, ces 3 personnages visiblement ont toute leur attention portée sur le 2 animaux. Comme il est dit dans le document cité par Renata Roveretto, " à l'époque, ce n'était pas encore le cochon qui devait aller chez le boucher, c'était le boucher qui venait chez le cochon". Ce qui pourrait expliquer le lieu de la scène, sans bâtiments visibles... Pour interpréter ce commentaire il faut aussi se souvenir que Pierre Auguste est de souche paysanne et vaudoise et qu'il doit utiliser des expressions locales et familiales. Des expériences de boucherie, il devait en avoir et l'on sait qu'il a avait toujours autour de ce "sacrifice" toutes sortes d'histoires rocambolesques à se raconter, aussi pour se donner du courage ! La photographie de Pierre Auguste, il a 20 ans, que j'ai associée , n'est là que parce que les dates et l'écriture concordent et qu'il est fort probable que cette scène qui l'a fortement interpellé se soit passée sur le chemin de Troistorrent à la Pointe de Chésery . Merci de vos réflexions et de vos efforts pour comprendre cette image , mais c'est certain, Pierre Auguste est parti avec la solution ! Bonne soirée !