Paul-André Florey est né à Vissoie (Anniviers) en 1936. En 1958, il quitta son village natal pour s'exiler à Dübendorf.

Mais qu'est-ce qui a bien pu pousser cet Anniviard authentique à s'exiler à Dübendorf ? Comment vit-il cet "exil" ? Et comment se fait-il que ça fait 62 ans qu'il y réside ? Retourne-t-il volontiers au pays ? A-t-il souffert du "heimweh" ?

Ce sont à ces questions que répond cette capsule vidéo. Elle évoque plus particulièrement son vécu des deux premières années durant lesquelles il fut électronicien à l’aérodrome militaire. Ensuite, il devint instructeur technique en uniforme avec le grade d’adjudant sous-officier, fonction qu'il occupa durant 34 ans.

Cette activité lui procura énormément de satisfaction tant sur le plan humain que technique.

Voir aussi :

En bonne compagnie...

1988

Les nombreux va-et-vient entre sa patrie d’adoption et Vissoie l’empêchèrent de trop souffrir du « Heimweh ». En témoigne son activité de "chasseur de sons" dans une vidéo à paraître prochainement.

Pour l'instant, je vous invite à visionner ce reportage qui a obtenu en 1963 le premier prix à l'échelon national, dans la catégorie reportage :

Tout là-bas, au val d’Anniviers

1 janvier 1963

00:00:00

00:14:02

Dans ce reportage audio, Paul-André interroge le truculent René-Pierre Bille (1915-2006) :

"Ils ont prié toute la nuit"

25 janvier 1946

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00:06:16

Dans cette capsule, il évoque le tremblement de terre de janvier 1946 :

"N'ayez pas peur : ce n'est qu'un tremblement de terre !"

25 janvier 1946

Ce document évoque le récit d'une Sierroise en villégiature en Suisse allemande dans les années 40 :

Röstigraben : un obstacle ?

1941

Röstigraben : un obstacle ?

En guise de préambule à ce document, je vous invite à écouter celui-ci qui évoque l'exil en Suisse a...