Jambon (fumé à la borne), saucissons, langue
Jambon (fumé à la borne), saucissons, langue
Dans la série "Bénichon des Grands Prés" débutée avec une photo de 1992, depuis le temps qu’on le voit cuire ce jambon !
Une série qui devient consistante, vraiment. Les choux sont en accompagnement. Nous passons à la 2ème viande, le cochon. Et la 3ème viande c'est le boeuf (ou la vache) avec la langue.
Anecdote :
Le stress en cuisine est parfois grand, chacun sait ce qu'il doit faire mais il s'occupe parfois de ses invités, boit un verre et, hop, on entend un cri: «Quelqu'un a mis les saucissons ?»... nous les retrouvons au frais dans le frigo de derrière, une faute d'erreur.
Retour historique :
Avant que la peste porcine ne vienne compliquer le jeu, nous avons eu la chance d'engraisser des cochons, dans le jardin derrière. C'était une expérience assez intéressante : ils arrivaient chez nous à 20kg environ, en automne = au moment où la Bénichon avait lieu. Du coup chacun pouvait apprécier ce qu'il y aurait dans les assiettes l'année suivante !
Galeries:

Quand les Romands font leur histoire...
Jeûne genevois
Il remonterait au début du mois d'octobre 1567, à l'occasion d'une répression contre les protestants lyonnais. Dès 1640, le jeûne est perçu comme un acte moral et religieux et devient annuel à l'initiative des cantons réformés. Il s'agit d'un acte d'humilité et de solidarité envers les plus démuni.e.s. Le seul repas de la journée est une traditionnelle tarde aux pruneaux.