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Récit
« Alger, le 31 décembre 1902, minuit.
Encore une année qui a fui... Une année de moins à...
Récit
Deuxième moitié du 19ème siècle :
# Deux générations de CHAMPENDAL.
PREMIERE CONSTATATIO...
Récit
Le voilà qui surgit du passé, inconnu, oublié, tout droit sorti d’une dépêche télégraphiqu...
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Carte postale reçue à Genève en mai 1949 de notre grand-mère, Charlotte Champendal-Glayre...
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Carte postale envoyée à sa fiancée par mon grand-père Emile Champendal pour lui annoncer s...
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Le moulin de Vérossaz, bien délabré, mais avec beaucoup de charme, visité par la famille C...
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https://notrehistoire.ch/entries/XEVY7wdlYGL
Il y a quelques jours, je suis partie sur le...
Récit
Voici l’histoire de deux frères Champandal, de leur fuite de Job dans le Puy-de-Dôme jusqu...
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Je suis allée à Prilly pour constater de visu que le chalet des amis de ma grand-mère, pho...
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Un jour, en été, il y a très longtemps, une petite bassine en métal et un enfant heureux.....
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Charlotte Champendal-Glayre (1882-1968), premier plan, en compagnie d'une femme non identi...
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Toujours le même chalet, mais vu sur le côté :
Derrière, on aperçoit une remise avec un...
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Dans l'album de ma grand-mère, Charlotte Champendal, je trouve cette photo qui représente...
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Jeune fille à la boille. Peut-être ma tante Loulette à 12 ans... Ou plutôt ma mère, Renée...

Quand les Romands font leur histoire...
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Jeûne genevois
Il remonterait au début du mois d'octobre 1567, à l'occasion d'une répression contre les protestants lyonnais. Dès 1640, le jeûne est perçu comme un acte moral et religieux et devient annuel à l'initiative des cantons réformés. Il s'agit d'un acte d'humilité et de solidarité envers les plus démuni.e.s. Le seul repas de la journée est une traditionnelle tarde aux pruneaux.