Jean-Marc Caloz (*1948) a de nombreuses cordes à son arc. Le point commun à toutes ces cordes est son amour de l'humain. Sa vie durant, il a exercé le noble métier de médecin : que ce soit à la campagne ou au service du CICR ainsi que dans les prisons. Parallèlement, il nourrit trois passions : le théâtre, le chant et le patrimoine.

Dans cette capsule vidéo, Jean-Marc s'exprime sur la gestion du COVID.

Il répond aux questions suivantes :

Avec du recul, penses-tu que lors de la crise du Covid, les mesures prises dans les homes justifiaient qu’on laisse les gens mourir de solitude ?

Quelques citations :

• Le Covid était quand même une question particulière qui posait des problèmes assez fondamentaux parce que c’était une chose nouvelle, il n’y avait pas de traitement. C’était mortel plus pour les personnes âgées. Les décisions ont dû être prises rapidement avec des informations très lacunaires. On peut toujours raisonner après, dire « on aurait pu faire mieux ». Quand on sait, c’est toujours plus facile. La Confédération a dû prendre des décisions à des moments difficiles. Elle n’a pas eu le choix. J’ai quand même l’impression qu’on a pris des décisions assez correctes.
• J’ai bcp de peine à comprendre les soignants qui ne se font pas vacciner… là il y a un problème de solidarité et de ne pas comprendre le geste de soignant qui est d’abord de ne pas nuire.

Voir aussi :

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